En mémoire de Farzad Kamangar

9 05 2011

Il y a un an, le 9 mai 2010, la République Islamique exécutait à Téhéran notre camarade Farzad Kamangar avec quatre autres prisonniers politiques, Ali Heydarian, Farhad Vakili, Shirin Alam-Houli et Mehdi Eslamian.

En mémoire de Farzad Kamangar et des autres prisonniers politiques exécuté(e)s, des portraits de Farzad Kamangar, Ali Heydarian, Farhad Vakili, Shirin Alam-Houli et Mehdi Eslamian ont été brandis lors d’une cérémonie en leur mémoire le 9 mai 2011 dans les environs de Souleimaniye au Kurdistan d’Irak.

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Neuf personnes dont un mineur exécutées à Ahvaz

9 05 2011

Freedom Messenger, 9 mai 2011 :

Iran Human Rights, 8 mai : Selon les rapports d’Iran, neuf personnes, dont un mineur, on été exécuté dans la ville d’Ahvaz au sud de l’Iran.

Selon la section en farsi de al-Arabiya (le site de nouvelles de la chaîne de télé al-Arabiya), la justice iranienne a annoncé que neuf personnes accusées de meurtre d’agents de sécurité et d’avoir commis des délits contre la chateté ont été exécutées.

Citant le site Ahvaz News, al-Arabiya rapporte que trois de ces hommes ont été pendus en public à Ahvaz, tandis que les six autres ont été pendus dans la prison d’Ahvaz. Selon ces rapports, un de ceux qui ont été pendus dans la prison avait 16 ans.

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Il y a un an notre camarade Farzad Kamangar était assassiné

9 05 2011

Il y a un an, le 9 mai 2010, notre camarade Farzad Kamangar, instituteur au Kurdistan, militant ouvrier et des droits des femmes, communiste et poète était exécuté avec quatre autre prisonniers politiques par les bourreaux de la République Islamique à Téhéran.

Enseignant de 35 ans et membre du syndicat professionnel des enseignants kurdes, il avait été accusé de « mettre en danger la sécurité nationale » et « inimitié envers Dieu » et condamné à mort en février 2008 suite à un simulacre de procès qui a duré moins de cinq minutes. Dans une de ces dernières lettres de prison, il avait décrit les tortures qu’il avait subi pendant sa détention.

S’adressant à ces élèves, garçons et filles, dans une lettre depuis la prison, il écrivait :

« Qui sait, peut-être que si vous n’étiez pas nées dans une telle misère et une telle souffrance, vous pourriez maintenant collecter des signatures pour la Campagne des Femmes. Ou, si vous n’étiez pas nées dans ce coin de « la terre oubliée de Dieu », vous ne seriez pas forcées de dire adieu, avec les larmes aux yeux, à l’école pour « la blanche dentelle de la féminité » et expérimenter « l’amère histoire du deuxième sexe ».

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